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Faut-il avoir peur des exonymes … dans son propre pays? Le cas «surréaliste» de la Belgique

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Date

2009

Authors

Germain, Jean

Journal Title

Journal ISSN

Volume Title

Publisher

York University

Abstract

La Belgique se partage entre trois régions (flamande, wallonne et bruxelloise) et entre trois communautés distinctes (de langue française, néerlandaise et allemande). Seule la Région bruxelloise est officiellement bilingue; d’autres zones sont dites «à facilités». Devenue un état fédéral, avec de plus en plus de compétences transférées aux régions et aux communautés, la Belgique est confrontée à une gestion toponymique parfois chaotique, souvent interpellante pour les étrangers. S’y affrontent le droit du sol et le droit des gens. En toponymie, c’est le droit du sol qui l’emporte, ce qui entraîne la primauté des exonymes (généralement très anciens) dans certains contextes, particulièrement dans la signalisation routière. Mais sont-ce des exonymes? Une politique plus souple ne devrait-elle pas s’appliquer dans le respect de l’usager, pris au piège des revendications identitaires.

Description

Keywords

Exonymes dans le Belgique, Toponyms in Belgium, Exonyms

Citation

Proceedings of the 23rd International Congress of Onomastic Sciences